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Né d’une profusion d’idées et de concepts, Pléthore se distingue par des ambiances sonores qui se confondent parfaitement à l’imaginaire plastique suscité par chaque note de leurs mélodies. Après la sortie très remarquée de leur premier EP, L, en 2019 l’ensemble conduit par Louis Faloci (batterie), s’apprête à présenter son disque, Digital Dream, en janvier 2026.

Mêlant musique électronique et pop imprégnée de soul, Pléthore n’hésite pas à flirter avec les frontières des genres et des formes artistiques. Conscient de notre position dans un monde où le virtuel et le réel se confondent, le collectif s’efforce d’explorer notre rapport au temps et aux relations humaines, au travers de clips et de compositions soigneusement élaborés.

En témoignent les trois premiers single de l’Opus à paraître : Tainted ( mai 2024) qui aborde la dimension trompeuse du monde digital avec lequel nous flirtons, tandis que An Angel (mars 2025) et Digital Dream (juin 2025) s’interrogent sur notre relation à l’image et à l’illusion du virtuel, ces artifices qui troublent nos perceptions.

Nicolas Worms, compositeur, est né à Paris en 1993.
Sa musique est un lieu où circulent, en surface et en profondeur, des espace-temps
contradictoires, dont la dissonance constitue la blessure et la structure.
Habité par les thèmes de l’absence et du voyage intérieur, marqué par le psychédélisme,
fasciné par le pouvoir narratif de la musique romantique, il développe le concept de
« musique-fiction » pour qualifier ses créations qui inventent un format original, en dehors
des habitudes propres à chaque style, comme le spectacle « l’Île Fantôme », la série
« Flot », et le projet « Numin » qu’il mène avec l’artiste Eden Tinto Collins.
Formé au CNSM de Paris, Il a reçu des commandes d’institutions comme le Théâtre du
Châtelet, l’Opéra National de Paris, l’Opéra National du Rhin, France Culture, et sa
musique a été interprétée par de nombreux orchestres symphoniques, ensembles de
chambre et solistes. Il collabore dans le même temps avec la scène pop/rock parisienne et
internationale : Moonsters, UTO, Mocke, Benjamin Clementine, Yael Naim, Philippe
Katerine…
Il participe aux BO de films de Quentin Dupieux, Christophe Honoré, Eric Judor, compose
et performe au piano pour les pièces des chorégraphes Radhouane El Meddeb et Bruno
Bouché, signe la musique de plusieurs fictions radiophoniques, ainsi que de nombreux
ciné-concerts et performances.

Au cœur de l’orage, Clément Visage nous invite à l’introspection, l’interrogation. Que reste-t-il ?

Loin dans la réverbération, quelques réponses apparaissent. Les pensées se mêlent et se démêlent, les voix se posent, les matières se superposent, dépeignent un monde de nuances, de mystères. Un monde où le flou n’est pas une absence mais une invitation à chercher, à ressentir et à se découvrir.

Les cycles mélodiques se répètent sans jamais se ressembler. Dans le tourbillon de notre monde, l'identité est mise à rude épreuve. Mais à travers le prisme de Clément Visage, le vent tourne, nous encerclant avec une caresse presque tangible.

Les nuages défilent, la lumière jaillit et soudain, tout redevient calme.

Musicien, Compositeur et Arrangeur, il gravite depuis 15 ans entre les univers de la musique à l’image, de l'électro, de la pop et de la chanson française. Après sa formation au Conservatoire Supérieur de Paris en 2010, il compose les bandes sons de nombreuses séries d’animation, de documentaires ou de publicités.

Depuis 2012, il collabore avec Alexandre Desplat, compositeur oscarisé, et l’assiste sur une cinquantaine de musiques de film telles que Grand Budapest Hotel, Shape of Water, Imitation Game, ou le Pinocchio de Guillermo del Toro.
En 2019, Il compose la Sainte Famille, son premier long-métrage, suite à la rencontre avec Louis-Do de Lencquesaing. Il retrouvera le metteur en scène pour une pièce de théâtre, le Principe d’Incertitude, en 2022. En 2023, il signe également la musique du premier film de Jeanne Gottesdiener, un Noël en famille, et du téléfilm 12 ans, 7 mois et 11 jours, d’Alexandre Coffre.
Au gré des rencontres, Il s’associe également avec des artistes d’univers
variés, qui l’inspirent. Avec Rone, ils explorent les frontières de l’électro/orchestral, à travers un ensemble de projets pour la scène ou pour l’image. Il collabore également avec Mika, Benjamin Biolay, Zaho de Sagazan ou Emily Loizeau, en arrangeant pour le film, l’album et la scène.

Lorsque la musique commence, elle nous entraîne dans une profonde introspection marquée par la résilience et la méticulosité.

Il a commencé à composer très tôt dans sa vie, grâce à sa formation classique au violon et au piano. Après avoir été diplômé du prestigieux Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, il est parti étudier la production musicale à l'USC Thornton School of Music à Los Angeles. Il a également travaillé au mythique studio Motorbass, où il a assisté de près au processus créatif avec Philippe Zdar.

Baptiste Lagrave puise ses influences contrastées auprès d’artistes allant de Franz Schubert, Boards of Canada, Jon Hopkins ou François de Roubaix.

Parallèlement, il compose des bandes originales pour le cinéma et des spectacles de danse contemporaine.

Dans une quête constante d'exploration, il affine son expérience scénique pour une performance plus brute et adaptée au club. Il a déjà connu le succès avec un concert à guichets fermés à La Boule Noire à Paris en mars 2024, après s’être produit dans des lieux notables tels que Le Bataclan, Le Trabendo ou Le Badaboum.